Bâtis en pierre ou en pixels, les sites où le Comptoir des écritures a exercé et s'est exercé.
A Toulouse : 5, rue des Gestes, nos caractéristiques lampes de verre bleu dénichées à Barcelone étaient déjà en place à l'ouverture en 1989, ainsi que le logo remarquable, dû à une action conjointe de Claude Mediavilla et Ouyang Jiaojia.
A Paris dans le 3ème Dans l'ombre (poétique) du théâtre Molière, il y avait un espace-couloir en ruine, qu'a brillamment rendu à la vie l'architecte Jérôme Brouat. Là s'est ouvert le Comptoir des écritures parisien, le jour même où était publié le Calligraphie de Claude Mediavilla. Il y eut des centaines de personnes pour ce double événement. Tous burent le champagne dehors. Les déjà fameuses lampes bleues avaient suivi le mouvement.
A Paris dans le 4ème : 35, rue Quincampoix. Du 3ème au 4ème arrondissement, il n'y avait qu'un pas (plus exactement cent mètres). On n'eut pas à changer le nom de la rue sur le papier à en-tête, seulement à allonger le cable des lampes bleues. Le meuble de drapier vient d'Agen ; son accumulation pluriculturelle inspira le décorateur de Peter Greenaway. D'ailleurs, le lancement de "The Pillow Book" s'est fait peu de temps après notre installation dans ce local, une ancienne mûrisserie de bananes rénovée avec subtilité par l'architecte Razvan Lazarescu.
Voir ici le détail des lieux et notre vieux website, chargé d'histoire et d'expositions mémorables.